Théâtre : La disparition de Josef Mengele
Le 20jan2026

Lieu
Théâtre François Ponsard
Catégorie
Spectacle
Théâtre
Thèmes
Art moderne / contemporain
Age min
14 ans
Animaux acceptés
Non
Communes
Vienne
Réservation
Directe
Organisateur
Théâtre de Vienne
Après la guerre, en 1949, Josef Mengele débarque à Buenos Aires pour s’inventer une nouvelle vie.
“L’ange de la mort d’Auschwitz”, ce médecin nazi, qui envoya à la chambre à gaz près de quatre cent mille juifs, qui fera sur les déportés toutes sortes d’expériences, qui collectionna, comme des papillons, leurs yeux sur les murs, s’éteindra pourtant tranquillement en 1979 sur une plage du Brésil, sans jamais avoir affronté la justice des hommes, excepté, peut-être le regard de son fils.
Durant sa longue cavale, il a bénéficié de l'aide active de sa famille et des chefs d'États d'Amérique du Sud.
Le spectacle débute par son arrivée à la douane argentine avec une valise contenant des seringues sous-cutanées. Il a fui l’Allemagne parce que son pays, “malheureusement”, a perdu la guerre. Un véritable coup de poing à l’âme de toute la salle.
Un homme ordinaire en somme, bon petit soldat des directives nationales-socialistes, suivant avec application les ordres, et qui n’aura été, selon ses affirmations, qu’un exécutant. Exactement la même ligne de défense qu'Eichmann à Jérusalem en 1961 : il n’a fait que suivre les ordres et a œuvré, comme le ferait tout soldat en guerre, pour défendre sa patrie.
La messe est dite…
D'après Olivier Guez, Prix Renaudot 2017 (Éditions Grasset)
Adaptation et jeu Mikaël Chirinian
Mise en scène Benoit Giros
Durant sa longue cavale, il a bénéficié de l'aide active de sa famille et des chefs d'États d'Amérique du Sud.
Le spectacle débute par son arrivée à la douane argentine avec une valise contenant des seringues sous-cutanées. Il a fui l’Allemagne parce que son pays, “malheureusement”, a perdu la guerre. Un véritable coup de poing à l’âme de toute la salle.
Un homme ordinaire en somme, bon petit soldat des directives nationales-socialistes, suivant avec application les ordres, et qui n’aura été, selon ses affirmations, qu’un exécutant. Exactement la même ligne de défense qu'Eichmann à Jérusalem en 1961 : il n’a fait que suivre les ordres et a œuvré, comme le ferait tout soldat en guerre, pour défendre sa patrie.
La messe est dite…
D'après Olivier Guez, Prix Renaudot 2017 (Éditions Grasset)
Adaptation et jeu Mikaël Chirinian
Mise en scène Benoit Giros
Lieu
Nom du lieu
Théâtre François Ponsard
Informations pratiques
Organisateur
Théâtre de Vienne
Ouverture(s)
Mardi 20 janvier 2026 de 20h30 à 21h45.
Tarifs
Adulte : de 24 à 28 € (suivant catégorie), Enfant : 12 €, Etudiant : 12 €.
Réservation
Directe
Age min
14 ans
Animaux acceptés
Non
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